Les manifestants se sont rassemblés devant le Haut commissariat du Nigéria à Londres et devant le bâtiment des Nations Unies à Genève, et ont exigé la libération immédiate du cheikh arrêté avec son épouse en 2015, par les forces du régime, lors d’une attaque contre le centre chiite de Zaria où près de 1000 personnes ont été tuées dont le fils du cheikh Zakzaki.
Le tribunal du Nigéria en 2015, a condamné cette arrestation qu’il a qualifiée de « contraire à la constitution » et des informations circulent sur le mauvais état de santé du cheikh qui serait paralysé et devenu aveugle suite à de mauvais traitements en prison.
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