Hadj Omar Bulkuf a déclaré qu’il avait ramassé les Corans des mosquées de Banteh et les avait restaurés gratuitement, et que les maisons d’impression lui avaient donné le matériel et les produits nécessaires gratuitement.
« J’ai décidé de former des jeunes à cet art qui continueront ce travail après ma mort », a-t-il ajouté.
Son fils Saleh, professeur de sport, a déclaré que son père malgré ses faibles revenus, était allé deux fois au Hadj et une fois au petit pèlerinage, et ne demandait aucun salaire pour son travail en dehors des prières.
« Il m’a demandé de le conduire chaque vendredi, à la prière du vendredi d’une mosquée où il ramasse les Corans usagers pour les restaurer », a-t-il dit.
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